L’avion qui nous emmène de Kuala Lumpur à Katmandou est presque vide. On se paye le luxe de faire une petite sieste sur des rangées de 3 sièges.

Un visa pour le Népal

 

Puis notre destination approche alors on colle nos gros nez graisseux sur les hublots en espérant apercevoir l’Everest.

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On distingue clairement une chaîne de montagne au loin qui dépasse de la couche nuageuse mais il nous est difficile d’identifier clairement le Mont Everest qui bien que culminant à 8848m forme pas non plus un pic au milieu de rien. Il est entouré de plusieurs pics qui n’ont que quelques centaines de mètres en moins.

 

Pour le coup, on n’est pas 100% certain que ce soit bien le Mont Everest… En tout cas on est certains que c’est pas le Mont Saint-Michel…

Un visa pour le Népal
Les plus petites montagnes qui entourent l’Everest n’ont rien a envier au sommet du monde. On commence a survoler des habitations. On dirait des petites briques de LEGO posées sur le sol!
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L’arrivée sur le sol népalais se fait sans problème. L’espace réservé à l’immigration est un peu vieillot avec des guichets en bois, des trucs cassés, un éclairage assez faible.

On suit le processus afin d’obtenir notre « visa on arrival », un visa pour le Népal donné directement à l’aéroport. Ça nous donne un avant-goût de l’état d’esprit Népalais. Tout est un peu fait à l’arrache. Après les beaux visas (avec hologrammes, encre sensible aux UV, prédécoupés, multicolores…), auxquels on a eu droit au Vietnam, au Laos ou encore au Cambodge, on a l’impression que les visas népalais sont réalisés avec MS Paint. Nos visa ressemblent à des tickets de tombola. Des couleurs pastel, découpés de travers, les infos ne sont même pas toutes fournies. Pour être honnêtes, après vérification, le papier qu’ils utilisent pour leurs auto-collants visas est sensible à la lumière UV.

Bref, on est déjà sous le charme du Népal et on sent que ça va être rock n’ roll!

L’aéroport étant un peu loin du centre de la capitale, on se paye un petit coup de taxi. Là encore il faut négocier un peu. On se fait approcher par différents chauffeurs qui nous proposent tous des prix bien trop élevés pour le service. On tourne quelques minutes sur le parking quand on retourne vers le tout premier qui a déjà baissé son prix d’un tiers! Cette fois-ci c’est ok pour nous aussi!

On se jette à l’arrière ne son mini taxi. Il fait à peu près la taille d’une R5, ou d’une FIAT Panda, ou d’une Peugeot 106…

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On a rapidement découvert le code de la route népalais. Déjà, au Népal on roule à gauche. Et accessoirement, ils ne mettent pas leur ceinture… D’ailleurs le principal système de sécurité au volant c’est le klaxon.

Quelqu’un vous coupe la route? Ne freinez pas, klaxonnez!

Vous voulez doubler? N’utilisez pas les clignotants, klaxonnez!

Notre taxi-driver népalais vadrouille habilement sur les routes chaotiques de Katmandou. Il zigzag entre les piétons, les vaches sacrées, les nids de poules et nous dépose comme convenu à Thamel, le quartier touristique de Katmandou.

La plupart des rues sont très étroites et sombres, du coup il y fait froid. Surtout quand on débarque de Malaisie et qu’on passait son temps en short/tong et qu’on dormait avec un ventilo collé au lit!

En parlant de lit, ce n’est malheureusement pas encore le moment de profiter. Il faut trouver où dormir. Cela ne devrait pas poser de problème dans ce quartier où les restaurants et hôtels ne manquent pas. Sauf que paradoxalement, la surabondance d’offre ne facilite pas forcément la tache. Il y a des panneaux partout à ne plus savoir où donner de la tête. Il est difficile de s’orienter dans un tel décors où tout se ressemble.

Une fois nos affaires déposées et nos fringues d’hiver ressorties, on peut se mettre à chercher à bouffer…Après quelques visites dans des guesthouses vraiment crades on fini par en trouver une pas moins crade mais moins chère… Ça sent le moisi, la moquette colle, il n’y a pas d’eau chaude, on a une vue sur une cour intérieur qui ressemble à une décharge mais sans avoir rien préparé à l’avance et un peu pressés par le temps, ça fera l’affaire pour cette nuit.

Lise veut à tous prix goûter la spécialité du Népal, les MO:MO: Ce sont des sortes de raviolis fourrés à différents trucs. Au choix, légumes, boeuf, poulet, yak… Et ils sont cuits de différentes façon. Le mode de cuisson faisant varier le prix du plat…

On trouve sans peine un resto assez clean qui en propose (ils en proposent tous…).

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Le résultat est au niveau de ce qu’on espérait! C’est simple mais très bon, surtout accompagné de la sauce épicée au curry.

Après ça on tournera vite fait dans le quartier (c’est pas qu’on visitait, on s’est perdu et on cherchait simplement notre guesthouse…) qui commençait sérieusement à s’assombrir avec la nuit qui s’installait.

 blog voyage nepal katmandou

Ce soir là, pas de douche, le gars de la réception qui nous avait dit de venir lui demander de mettre l’eau chaude n’était plus à son poste…

On vous souhaite bonne chance et pensez à nous envoyer une carte postale si vous gagnez :)blog voyage nepal katmandou

Les plus petites montagnes qui entourent l’Everest n’ont rien a envier au sommet du monde. On commence a survoler des habitations. On dirait des petites briques de LEGO posées sur le sol!

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L’arrivée sur le sol népalais se fait sans problème. L’espace réservé à l’immigration est un peu vieillot avec des guichets en bois, des trucs cassés, un éclairage assez faible.

On suit le processus afin d’obtenir notre « visa on arrival ». Ça nous donne un avant-goût de l’état d’esprit Népalais. Tout est un peu fait à l’arrache. Après les beaux visas (avec hologrammes, encre sensible aux UV, prédécoupés, multicolores…), auxquels on a eu droit au Vietnam, au Laos ou encore au Cambodge, on a l’impression que les visas népalais sont réalisés avec MS Paint. Nos visa ressemblent à des tickets de tombola. Des couleurs pastel, découpés de travers, les infos ne sont même pas toutes fournies. Pour être honnêtes, après vérification, le papier qu’ils utilisent pour leurs auto-collants visas est sensible à la lumière UV.

Bref, on est déjà sous le charme du Népal et on sent que ça va être rock n’ roll!

L’aéroport étant un peu loin du centre de la capitale, on se paye un petit coup de taxi. Là encore il faut négocier un peu. On se fait approcher par différents chauffeurs qui nous proposent tous des prix bien trop élevés pour le service. On tourne quelques minutes sur le parking quand on retourne vers le tout premier qui a déjà baissé son prix d’un tiers! Cette fois-ci c’est ok pour nous aussi!

On se jette à l’arrière ne son mini taxi. Il fait à peu près la taille d’une R5, ou d’une FIAT Panda, ou d’une Peugeot 106…

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Sinon, on profite de cet article pour vous faire part d’une info qui devrait intéresser certains d’entre vous.

Easyvoyage.com organise en ce moment même le EasyGame Saison 2 !

Un jeu-concours qui permet de gagner un voyage A/R à New York aux USA d’Amérique.

Pour gagner, il suffit de deviner quelle destination (la plus éloignée de Paris) vous pouvez atteindre pour la somme maximale de 200€.

Plus précisément, il faut donner le nom de la compagnie aérienne ainsi que la destination pour laquelle il est possible de voyager pour 200€ maximum, dans le cadre d’un aller-retour au départ de l’aéroport Roissy CDG entre le 18 et le 21 octobre 2014. Oui, c’est précis !

Pour participer, rien de bien compliqué. Cliquez-ici et laissez-vous guider.

Lisez bien le règlement et les conditions pour ne rater aucune étape du jeu et optimiser vos chances de gagner.

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