C’est vraiment bizarre ce retour à la civilisation…

On a un appart dans un grand building, des colocs, une douche, un frigo, du monde partout dans la rue…

Fini les cacas dans la nature, les fringues qui sentent le phoque mort, les repas noodles-huile-oeufs (avec moucheron ou écorces d’arbres qui tombent en option).

C’est que ça nous manquerait presque !


On profite peu de Sydney, parce qu’il nous reste plein de choses à régler (voir article du dessous…).

Parfois on fait des « pauses », la plupart du temps pour aller s’acheter à bouffer… Vu qu’on habite à Chinatown, on s’achète de la bouffe complètement hystérique : vermicelle arôme épinard, fanta fraise, sushi californien ou encore thé gélatineux…

Quand on a super faim, on va au Paddy’s market, toujours blindé d’asiatiques, où on achète des fruits et légumes à $1 le kilo.

Ça gueule de partout, mais on s’en lasse pas.

Je sais pas si c’est parce qu’on habite à Chinatown, mais on commence à avoir la « sushi attitude » (on achète beaucoup trop de sushis, mais c’est pas cher mon frère!). Pour économiser encore plus, on s’est mit à faire nos propres sushis. On a été au Fish Market pour avoir du poisson pas cher et ultra frais,

et on a enfilé nos costumes de « sushis master »

 Seth est bien meilleur que moi…

Il s’est même fait une coiffure « japonaise » à la Dragon Ball Z…

Résultat : l’appart sent le poisson, le frigo sent le poisson, nos mains puent le poissons, mais putain qu’est ce que c’est bon !

De temps en temps, en direct de notre balcon, on a le droit a de longs feux d’artifices gratos. Sur la ville illuminée, c’est magique.

Seth profite de la luminosité urbaine pour tester des effets chouettes avec son appareil photo.

Demain, on va bouffer chez Ron, notre ancien coloc thaï, qui a changé de cursus universitaire pour devenir chef cuisiner. Sa bouffe était déjà super bonne avant qu’il envisage de devenir pro, alors on a hâte d’y être…

THE FAMOUS AUSTRALIAN INSOLITE THINGS OF THE WEEK

Certains docteurs du quartiers ne nous inspirent vraiment pas confiance…

On a vu des pélicans affamés et un peu crevards sur les bords attendre devant la porte d’un poissonnier