Direction Homa (Hochelaga-Maisonneuve) au Nord de Montréal.
Il y a presque toujours une odeur de bon pain frais avec une légère flagrance de pot d’échappement. Outre son stade olympique, son jardin botanique, ses bons restos roots, ses nombreuses églises et musées, c’est dans les zones résidentielles ouvrières et au milieu des vieilles usines qu’on aime se promener.
Malgré ses apparences de quartier industriel, on trouve toujours un petit parc sympa pour se reposer, des boutiques branchées et des centres de loisirs pour se changer les idées (escalade, bowling, bingo, piscine, paintball…).
Fortement touché par le chômage et la pauvreté à la fin du XXe siècle, Homa renaît peu à peu de ses cendres avec l’arrivée de nouveaux habitants qui « tombent en amour » avec ce quartier pour sa proximité avec le centre ville, le coût de la vie peu élevé, et l’effervescence culturelle qu’on peut y trouver.
La tour de Pise a de la concurrence à Homa!
Ici les princesses ne sont pas celles des contes de fées…
Belles photos!
C’est le quartier de mon enfance…
Un petit détail…
Il est au sud de Montréal ce quartier…
😉
HoMa étant au Nord quand on regarde une planisphère, on préfère dire que c’est au Nord pour nos lecteurs qui ne connaitraient pas cette particularité topographique de Montréal.
Chers Seth et Lise…
Depuis le temps que je me dis qu’il faudrait peut-être laisser un beau commentaire pour vous remercier… Quoique c’est peut-être mieux de vous expliquer le pourquoi de mon cyber super big hug
avant.
Parce que votre blog, les photos et les dessins sont excellents. C’est répétitif de le dire, pas très cherché comme compliment mais c’est vrai. Continuez à nous faire frissonner, rigoler, jalouser
et bouder de rester derrière un petit écran quand vous découvrez des nouvelles cultures et des espaces si impressionnants en amoureux,l’un complétant toujours l’autre.
L’autre raison est beaucoup plus personnelle. Comme je l’avais mentionné dans l’un de mes précédents commentaires, je suis allée étudier en Chine seule durant un peu moins de six mois. La vie dans
ce pays, les désenchantements, la solitude et les barrières de tout genres (langues mais aussi culture) ont été autant de raison de ne pas se taper un big smile quotidien (euphémisme anglicanisé
pour dire qu’en fait ben euh des moments ça n’allait plus du tout). La terrible impression d’être vide et seule, entre autres.
Mais j’ai découvert votre blog, petite fenêtre ouverte sur un nouveau monde, pas celui européen dont je voulais m’éloigner, ni celui dans lequel j’étais baignée et qui pourtant se refusait à
m’intégrer. Je sais que les photos et les dessins, de même que les articles aussi intéressants soient-ils ne reflètent pas complètement la réalité, et qu’une connection internet ne remplacera
jamais un vrai sentiment d’amitié. Qu’importe, si après l’Australie, l’Europe et le Canada l’envie vous prend de venir en Normandie (ouaahoo quel exotisme) ma porte vous sera grande ouverte. Rien
que pour partager vos histoires et pour vous remercier de ce travail qu’est votre blog.
Marie (qui est rentrée au pays de papa maman il n’y a pas longtemps, et vous souhaite le même pétage de bide au camembert qu’elle a fait sitôt arrivée !)
Merci pour ton cool commentaire
On imagine ce que tu as pu ressentir parfois. Ce n’est pas tous les jours tout rose pour nous non plus.
Pour le fromage au retour, on connait déjà la fromagerie où on va passer en arrivant! D’ailleurs merci pour l’invit’. Il parrait qu’ils font du bon fromage en Normandie 😉