Aujourd’hui on a testé une nouvelle spécialité du Canada, la queue de castor!
Pour chasser ce genre de plat, il ne faut pas aller poser des pièges à la Bear Grylls dans les forêts mais se rendre tout simplement dans une boutique sur Sherbrooke Ouest, en plein Montréal.
On entre dans la boutique qui vend cette spécialité, on a l’impression qu’on va nous servir des fish n’ chips tellement ça sent la friture là dedans.
On en a pris une au cheesecake/caramel, et une autre banane/chocolat. C’était ultra sucré, bien gras et dégoulinant. On a été se poser sur les pelouses du campus de l’université de McGill pour les déguster, on avait l’impression de prendre 1 kilo à chaque bouchée…
On a remonté la rue Ste Catherine vers l’Est, là où il y a plein de galeries sympa, des salles de concerts rock’n’roll et des magasins colorés.
On est ensuite passé devant un bâtiment historique qui nous a intrigué. Devant l’entrée, un panneau nous invitait à rentrer pour voir une expo de street-art.
On s’est retrouvés dans des grandes pièces délabrées, taguées et recouvertes d’art des murs au plafond… Ça ressemblait à un squat d’artistes.
Il y a aussi bien des sculptures, que des graffitis, des tableaux, des stencils, des collages, des maquettes…
Un seul mot d’ordre: la démocratisation du street-art.
On nous encourageait même à faire des photos pour immortaliser cette forme d’expression (vu que l’expo est temporaire, et que les oeuvres seront bientôt recouvertes par d’autres artistes).
On en prenait plein les mirettes, ces artistes débordent de créativité et sont loin d’être uniquement des vandales, même si on avoue qu’on ne trouve pas toutes leurs créations artistiques. (principalement les graffs moches qui consistent à laisser son nom un peu partout, comme preuve d’un passage… m’enfin…)
Certains artistes ont poussé le concept du street-art mal-aimé en exposant leurs toiles au milieu des poubelles, vu que c’est la place que la société a tendance à leur donner…
Dans un coin de l’exposition, il y avait une partie avec des oeuvres réalisées par des étudiants en art.
Mention spéciale au « love tree » où on pouvait écrire sur des petits coeurs ce qu’on aimait dans la vie. Lise a enfin pu partager au grand jour son amour pour… le chili sin carne. Hi hi !
On a passé une heure à parcourir les deux étages pour quelques dollars qu’on a trouvé au fond de nos poches… On recommande!
Espace Peint Frais 180 rue Ste Catherine Est, Montréal Entrée à prix libre (on donne ce qu’on veut) |
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THE FAMOUS INSOLITE THING OF THE DAY
A la boutique de queues de castors, ils avaient une façon originale de demander des pourboires…
« Les zombies arrivent! Un peu de monnaie pour une tronçonneuse…«
Expo vraiment superbe ! Merci pour l’article ! Et…ahhh la queue de castor, toute une mentalité
La queue de castor c’est un peu comme la poutine mais en version sucré!
Sympa cete expo!
Et surtout merci de m’avoir fait revenir 15 ans ou plus en arriere avec cette photo d’un telecran!!
15 ans, c’est surement le temps qu’a mit le mec pour dessiner le Taj Mahal sur son télécran!
merci pour cette expo
nous avons également goûté à la fameuse queue de castor
Mélanie
Et alors, qu’en avez vous pensez ?
trop gras et écoeurant
ça sent trop la friture
c’est dommage ça donne tellement envie
nous étions mon mari, nos 2 enfants et moi pour en manger une
les enfants ont été également déçus
Mélanie